Seedtag, entreprise spécialisée dans la publicité neuro-contextuelle, a annoncé les résultats d’une étude neuroscientifique inédite, menée en partenariat avec l’éminent neuroscientifique Moran Cerf de l’Université Columbia. La recherche montre que les publicités neuro-contextuelles génèrent un engagement neuronal 3,5 fois supérieur à celui des publicités non contextuelles — et 30 % supérieur aux publicités contextuelles standard définies par l’IAB. Dans un contexte où les méthodes de ciblage traditionnelles deviennent moins fiables et où l’attention est plus difficile à capter, ces résultats offrent à l’industrie un cadre validé pour générer un engagement pertinent dans un avenir centré sur la confidentialité.

Les résultats de l’étude montrent que les placements neuro-contextuels surpassent largement les autres formats en générant :
- un engagement neuronal 3,5× supérieur à celui des publicités non contextuelles
- +30 % d’engagement neuronal par rapport aux publicités contextuelles standard
- +26 % d’augmentation des réponses émotionnelles positives favorisant l’action
- une attention plus élevée sur mobile pour les publicités neuro-contextuelles
- un maintien de la concentration sans effet de fatigue, même après plusieurs
expositions
Pour les marques et les planners médias, les conclusions indiquent que l’efficacité publicitaire est maximale lorsque les publicités sont alignées avec l’intérêt dominant, l’intention et le ton émotionnel d’un article. La recherche suggère que les décisions de planification fondées sur des signaux émotionnels et cognitifs — plutôt que sur des catégories superficielles ou des mots-clés — améliorent la réceptivité du public et réduisent la friction cognitive. L’alignement neuro-contextuel permet d’identifier les moments où les audiences sont naturellement plus ouvertes à l’engagement, permettant d’orienter l’investissement média selon des indicateurs mesurables d’attention et de résonance émotionnelle plutôt que selon des profils comportementaux.
« Cette recherche valide ce que nous savions instinctivement : la pertinence est une question de connexion humaine », déclare Brian Gleason, PDG de Seedtag. « En combinant neurosciences et IA, nous pouvons atteindre les gens au moment où ils sont le plus réceptifs, en proposant une publicité naturelle, significative et émotionnellement pertinente, sans recourir aux données personnelles. »
L’étude montre également que les publicités neuro-contextuelles activent davantage la partie frontale gauche du cerveau, qui gouverne les émotions favorisant l’engagement, générant une augmentation de 26 % des émotions positives et orientées vers l’approche par rapport aux publicités contextuelles standard. L’effet est particulièrement marqué lorsque les publicités neuro-contextuelles sont conçues pour évoquer des émotions de confiance,
d’enthousiasme et d’approbation, des moteurs clés de l’action des consommateurs.
« L’alignement cérébral est la monnaie du contenu de qualité », a déclaré le Professeur Moran Cerf de l’Université Columbia. « Cette étude prouve que lorsque l’émotion d’une publicité correspond à l’émotion de son environnement, le cerveau travaille moins et retient davantage. La publicité neuro-contextuelle est tout simplement plus humaine. »
« Ce que montre cette étude, c’est qu’il est possible de maximiser la performance sans sacrifier le respect de la vie privée. En France, où l’exigence éthique est particulièrement élevée, la publicité neuro-contextuelle apporte une réponse concrète, mesurable et durable. En alignant les messages publicitaires avec l’état émotionnel des audiences, nous créons de
vraies connexions, plus naturelles et plus mémorables. C’est cette dimension profondément humaine que nous voulons apporter au marché français. » explique Benoît Cochet, DG France de Seedtag.
La recherche a utilisé l’électroencéphalographie (EEG) pour mesurer l’activité cérébrale en temps réel et la corrélation inter-cerveaux (CBC) pendant que les participants étaient exposés à trois types de publicités : neuro-contextuelles, contextuelles standard et non contextuelles. L’objectif de l’étude était d’apporter un cadre scientifique à la publicité en explorant la manière dont l’alignement neuro-contextuel renforce l’efficacité du ciblage contextuel et amplifie l’impact global.
Grâce à Liz, l’IA propriétaire de Seedtag, qui alimente le ciblage neuro-contextuel via des embeddings avancés, les participants ont pu voir des publicités correspondant en temps réel au ton émotionnel, à l’intention et aux signaux d’intérêt dans différents environnements. En s’appuyant sur le fonctionnement naturel du cerveau, Liz a garanti que les publicités
apparaissaient dans des environnements alignés à la fois avec ce qui intéresse les gens et ce qu’ils ressentent, permettant une précision respectueuse de la confidentialité qui améliore la performance.
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Méthodologie :
L’étude a été menée entre août et novembre 2025 à New York, en partenariat avec le neuroscientifique Professeur Moran Cerf de l’Université Columbia, qui a contribué à ce projet indépendamment de son affiliation universitaire. À l’aide de l’électroencéphalographie (EEG), l’activité cérébrale des participants a été mesurée tandis qu’ils naviguaient dans des environnements de contenu simulés sur ordinateur et mobile contenant trois types de publicités : neuro-contextuelles, contextuelles standard et non contextuelles.
Des indicateurs neuronaux tels que la corrélation inter-cerveaux (pour l’engagement partagé) et l’asymétrie alpha frontale (pour la valence émotionnelle et motivationnelle) ont été analysés afin d’évaluer comment différentes associations entre publicités et contextes influençaient l’attention, l’engagement et la réponse émotionnelle. Ce cadre a offert une mesure objective de la manière dont l’alignement entre contenu et cognition influe sur
l’impact publicitaire.
