

Le site a levé un montant confidentiel (estimé entre 1 et 3 Millions $) auprès d’ Union Square Ventures en octobre 2011.
Le fond de capital risque était accompagné par plusieurs entrepreneurs légendaires de la Silicon Valley dont Scott Banister (Ex Iron Port), Jim Young (I/O Ventures), Jeff Miller (Documentum), Joshua Schachter (Delicious), Kal Vepuri (Trisiras Group), Joshua Stylman (Reprise Media) et Peter Hershberg (Social Flow).
A l’époque, Brad Burnham d’Union Squares Ventures avait commenté son investissement en déclarant “Nous avons investi dans DuckDuckGo parce que nous sommes devenus convaincus qu’il était non seulement possible de changer les bases de la compétition dans la recherche mais qu’il était temps de le faire ».
Pour bâtir son index DuckDuckGo utilise une combinaison de technologies comprenant DuckDuckBot son propre robot, un index de sites issu du crowdsourcing et une combinaison de Yahoo! BOSS, embed.ly, WolframAlpha, EntireWeb, Bing et Blekko.
DuckDuckGo, qui n’est pas encore profitable, génère des revenus grâce à la publicité (sans tracking en accord avec sa politique de vie privée) et l’affiliation auprès d’Ebay et d’Amazon (sur les mêmes principes).
D’après Search Engine Land, DuckDuckGo, avec près de 0,1% du volume de requêtes. reste néanmoins modeste par rapport à Google.

