Interview avec Christophe Sauvan, fondateur de Netadge, première DSP mobile en France.
Où en est NetAdge?
Netadge a encore renforcé sa position de première DSP mobile en France et se développe rapidement en Europe, notamment en UK le plus gros marché.
C’est la simplicité d’utilisation et les performances qu’elle apporte qui sont les moteurs de cette réussite et qui font de netadge un référent du marché.
Dans un contexte global ou les marques s’inquiètent de la réalité des clics achetés, netadge apporte une réponse concrète et unique basée :
- D’une part sur la transparence absolue permise par la granularité de ces outils de reporting et optimisation qui offre une capacité d’analyse jusqu’au niveau de la créa et sur plus de 40 dimensions y compris sur les géo-points de la campagne.
- Et d’autre part sur la mise en œuvre d’un arsenal de détection de la fraude à base de machine learning sur les variables sensibles que sont : les géo-points, les noms d’applications, les OS et modèles de téléphone, et sur l’analyse des clics.
Quelles sont les grandes tendances du programmatique ?
Les deux tendances annoncées sur le marché de la publicité digitale sont au rendez-vous :
- La publicité digitale est de plus en plus mobile et automatisée.
- A la croisée des chemins le RTB mobile explose : en France le marché suit une croissance de +70 à +80% en 2016 vs 2015.
Cette performance est boostées parce que les plateformes RTB dédiées au mobile telles que netadge atteignent la maturité :
- Le « reach » est optimal dans les pays majeurs, rien que pour la France par exemple, netadge donne accès à plus de 60 milliards d’impressions (bid requests) par mois (quatre fois les volumes de juillet 2015);
- La visibilité sur la performance est complète grâce au tracking des « IFA » ;
- Les formats mobiles performent à des niveaux très élevés: (à titre d’exemple tout format RTB mobile confondu)
- CPC moyen observé sur netadge = 0,1 €
- CTR moyen observé sur netadge = 0,85%
Seule ombre au tableau, le gros des investissements RTB Mobile (70% environ) est réalisé sur des sites mobiles et non « in App», un sérieux décalage avec les usages qui eux se concentrent sur les App à 80%…
« A qui la faute ? … probablement aux DSP web ! »
- Qui voient 20 à 30% de leur volume d’impressions web exposées en réalité sur des mobiles vs Pc’s.
- Qui montrent leurs limites sur le « In App » pour de multiples raisons : audience limitée, capacité au tracking, gestion des formats et « IFA »
Quels sont les enjeux du programmatique?
L’enjeu du programmatique c’est la performance, nous sommes convaincus qu’in fine c’est le ROI de l’euro investi qui compte y compris pour le branding et ce quel que soit le format.
Pour répondre à cet enjeu netadge travaille sur deux axes majeurs :
- Le format native, pour lequel nous proposons dores et déjà l’accès à la plus large audience du marché (à titre indicatif rien qu’en France nos clients accèdent déjà à près de 5 milliards d’impressions mobile native par mois), avec un CTR moyen 2,5 fois plus élevé que la moyenne des autres formats.
- La DATA, avec la fourniture d’outils en self service pour nos clients leur permettant de connecter leurs sources et travailler à l’amélioration de leur performance en pré – bid et en retargeting.
